Un journaliste, critique musical, à la fin d’un concert de Martha Argerich en 1959, écrivit ces quelques lignes :
« Je n’ai pas vu une femme qui joue du piano, mais une artiste qui, de l’intérieur, se consume pour la musique. »
Virtuose exceptionnelle, très instinctive, anticonformiste, elle est devenue une icône incontournable du monde du piano depuis maintenant plus de six décennies. La voici interprétant une sonate de Scarlatti en 2008.
Une douceur du temps présent.
Marc T.